Pour les jeunes de l’ALEFPA, les appréhensions de départ « j’aime pas », « pourquoi on marche? », « je sais pas lire », « je comprends pas le français », sont devenues « j’ai appris le texte jusqu’à 5 heures du matin », « je pensais pas pouvoir faire ça », « je suis venu parce que j’étais pas obligé»…