Critique publiée dans Les Trois Coups le 5 octobre 2010 Deux pièces, et le temps s’arrête. Ou se perd en d’incroyables détours. Cinq minutes auparavant, nous étions au Théâtre de l’Épée-de-Bois, investi depuis le 10 septembre 2010 par le festival Un automne à tisser. Et voilà que la Cie Libre d’esprit, avec…
Critique : Kleist ou De la pureté dangereuse
