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Compagnie Libre d'Esprit


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Edito

Après le premier volet de la trilogie Raki, la compagnie présente dans son intégralité une autre trilogie: le cycle Václav Havel, du 14 au 26 mai, au Théâtre de l'Épée de Bois, qui nous accueille pour la 5e année consécutive. Après la Cartoucherie, nous retournerons en Avignon, toujours avec le cycle Havel.

Cycle Václav Havel au Théâtre de l’Épée de Bois - Cartoucherie

Du 14 au 26 mai

Cycle Havel

L'intégrale du cycle Václav Havel : Audience, Vernissage et Pétition. 

Ces pièces, formant le cycle Vanek, du nom d'un des personnages que l'on retrouve dans chacune des trois pièces de Havel, racontent les travaux et les journées du dissident confronté aux lâchetés et aux pressions quotidiennes du pouvoir, comme à celles de ses proches qui l’appellent à trahir, à collaborer, à se renier.

D’hier et d’aujourd’hui, d’ici ou d’ailleurs, ces pièces, traitées avec un humour propre à Havel, nous incitent à rester vigilants par rapport à toutes les formes actuelles de «dictature ordinaire».

Mise en scène: Nikson Pitaqaj.

Du mardi 14 au samedi 18 maiVernissage à 20h30 et Pétition à 21h30

Du mardi 21 au samedi 25 maiVernissage  à 20h30 et Audience à 21h30

Les dimanches 19 et 26 mai : le cycle est présenté dans son intégralité :
Audience à 16h, Vernissage à 17h et  Pétition à 18h

Une coréalisation avec le théâtre de l’Épée de Bois – Cartoucherie, le Théâtre du Grenier de Bougival. La compagnie reçoit le soutien du CG78.

Réservations 01 48 08 39 74 ou en ligne : www.epeedebois.com

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Audience

La presse en parle…

«Le metteur en scène Nikson Pitaqaj conçoit les trois œuvres comme des “interrogatoires subtils“ qui entraînent les protagonistes dans une spirale infernale, lorsque les non-dits et les sous-entendus signifient l’oppression, et qui laissent voir la complexité et les paradoxes de l’homme. Des œuvres à découvrir d’urgence en tant que spectateur et en tant que citoyen !» La Terrasse, avril 2013

«… dans une scénographie réduite au strict minimum, nous avons le maximum de théâtre. Il serait donc dommage de passer à côté de cette Audience ». Un fauteuil pour l’orchestre, décembre 2012

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